Dans les heures qui ont suivi le passage de l’American Health Care Act (AHCA) à la Chambre des représentants des États-Unis le 4 mai, des milliers de personnes se sont connectées à Twitter avec le hashtag #IAmAPreexistingCondition.
Les gens qui ont? Conditions préexistantes? Telles que définies dans les politiques antérieures à la loi sur les soins abordables (ACA), elles craignent de perdre leur couverture ou de voir leur budget augmenter considérablement si la loi sur la santé et la sécurité au travail passait au Sénat.
Selon une étude de la Henry J. Kaiser Family Foundation, près de 27% des Américains âgés de moins de 65 ans, soit plus de 52 millions de personnes, souffrent d'une maladie préexistante qui permettrait aux compagnies d'assurance de décliner leur protection sur le marché des assurances antérieures à ACA. . (L’ACA empêche les compagnies d’assurance de refuser une couverture ou de vous faire payer des frais excessifs en raison d’une affection préexistante.)
Ce qui est considéré comme une condition préexistante dépend de l'assureur. Mais l'abrogation de l'ACA pourrait donner aux États et aux assureurs la possibilité de refuser une couverture ou d'offrir des primes majorées à des personnes souffrant de maladies telles que la sclérose en plaques, le diabète, l'arthrite, la maladie de Crohn, le lupus, l'épilepsie, le trouble bipolaire et l'anxiété, entre autres.
Kaiser mentionne également la grossesse et le transsexualisme en tant que conditions préexistantes pouvant entraîner une baisse de couverture. Viol, agression sexuelle, dépression post-partum et? Déviation sexuelle? peut être d'autres potentiels.
Voici quelques exemples de personnalités, notamment Anna Paquin et Alyssa Milano, qui partagent leur histoire et leurs inquiétudes avec le hashtag #IAmAPreexistingCondition: